Des mobilités douces ... une autre manière d'envisager notre rapport à la montagne

Dans les Alpes, et ailleurs, la fréquentation des montagnes à des fins de loisirs entraîne des nuisances locales ou lointaines. Nos pratiques dans ces milieux génèrent, souvent inconsciemment -mais pas toujours, et c'est là que le bât blesse-, un ensemble de conséquences positives et négatives. Visibles ou non actuellement, elles s'étalent de plus sur des échelles de temps qui posent la question du monde que nous lèguerons à nos enfants. Parmi ces conséquences, celles liées au transport occupent une place particulière, tant l'automobile est devenue à la fois un symbole de liberté individuelle et de dépendance globale. Si nous ne sommes sans doute pas près de renoncer aux plaisirs de toutes sortes que nous apporte la fréquentation de la montagne, du moins pouvons-nous adapter nos modes de déplacement de manière à restreindre notre impact sur l'environnement proche et lointain.
Bus, train, auto-stop, covoiturage, auto-partage, vélo ... il existe aujourd'hui une gamme suffisament variée de moyens de transport ayant un impact plus faible que la voiture pour que l'alternative devienne la norme.

Pour s'informer, s'engager et connaître ce qui existe déjà :
Projet européen Alpine Awareness
Action Mobilités Douces de MW